Monsieur le président, monsieur le ministre, monsieur le ministre chargé des relations avec le Parlement, monsieur le président de la commission des finances, monsieur le rapporteur général, mes chers collègues, étant le dernier orateur inscrit, je lèverai très vite le suspense ; nous connaîtrons dans quelques instants l’issue de nos votes.
Il n’y a rien de plus dangereux pour un gouvernement que de se replier sur lui-même.
Malheureusement, à l’heure où vous allez recevoir, cette semaine, les partenaires sociaux pour examiner ce que vous appelez « une réforme fiscale », …