C’est un enjeu majeur pour la compétitivité de notre pays, qui – n’est-ce pas, monsieur Revet ? – souffre peut-être toujours d’un manque de reconnaissance de son caractère maritime. Voilà en tout cas un argument supplémentaire qui montre combien le fait de se situer au deuxième rang mondial en termes de surface maritime peut être utile, y compris pour ses avions. Il n’y a donc pas de concurrence entre le rail et l’aviation, mais une complémentarité.