Je les connais bien, pour être moi-même issu de ce département. Lors d’une réunion de l’Association des maires des Hauts-de-Seine, tous les élus de ces groupes étaient vent debout. Ils invoquaient principalement deux arguments : d’une part, les communes ne pourront plus maîtriser leur politique du logement et devront abriter, horresco referens, des logements sociaux ; d’autre part – et c’est la raison la plus évidente de leur opposition –, la création de la métropole entraînera une mutualisation des ressources financières à l’échelle de la métropole et les grands perdants seront bien sûr les communes très riches, même trop riches, de l’Ouest parisien.