Il y a consensus sur le fait que les rythmes sont inadaptés. Les familles y contribuent, les parents du vendredi ne sont pas ceux du lundi - le vendredi, les familles font des projets, en négligeant la fatigue des enfants.
La méthode du décret uniforme trouve ses limites. Nous ne pouvons écarter les considérations économiques locales : dans ma région, la pratique des sports d'hiver, ni les conditions de déplacement qui sont, de fait, différentes en montagne et en ville. Le samedi matin ne devrait plus être dérogatoire. Les décisions doivent être prises au niveau local.