a estimé que le texte constitue une première étape d'une évolution inéluctable du droit à la formation, qui sera de plus en plus rattaché à la personne elle-même, et non plus au statut professionnel. La portabilité du Dif en est le témoignage le plus visible. Il est vrai, par ailleurs, que la prolifération des instances régionales compétentes en matière de formation professionnelle est source de confusion : le comité régional de l'emploi pourrait donc être utilement supprimé. Enfin, parmi les sujets sur lesquels les partenaires sociaux et les pouvoirs publics devront se pencher dans les prochains mois, figurent effectivement la formation des salariés à temps partiel ainsi que l'articulation entre formation et rémunération.