Ernestine Ronai, co-présidente de la commission « violences de genre » du Haut Conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes (HCE f-h), coordinatrice nationale « violences faites aux femmes » de la Mission interministérielle pour la protection des femmes victimes de violences (MIPROF) :Les deux cas existent. Ce que je pointais du doigt, ce sont les situations où les deux - agresseur et victime - sont scolarisés dans le même établissement et qu'il revient à la victime de partir.