Je voudrais insister sur le fait que la proposition de loi prévoit une autorisation temporaire de séjour de six mois pour les personnes engagées dans un parcours de sortie de prostitution. Cette condition laisse de côté toutes les autres victimes de la traite visées par l'article 225-4-1 du code pénal, comme par exemple les victimes de l'esclavage, du travail forcé, des prélèvements d'organes... Je voulais attirer votre attention sur ce point.