J'ai rejoint cette commission en raison de l'importance que j'attache à la révolution numérique, qui tient une place de choix dans l'action et le débat publics. Je plaide pour un rééquilibrage, afin d'éviter toute tutelle, plus ou moins déguisée, d'une commission sur une autre : pour nécessaire qu'une telle tutelle ait pu paraître au début, elle n'est plus de mise aujourd'hui. Une répartition plus équitable des compétences s'impose.