Il est vrai qu'au tout début de l'existence de notre commission, une certaine prudence a prévalu dans l'attribution de ses compétences. Grâce à votre implication, grâce au sérieux de nos travaux, nous pouvons légitimement demander qu'elles soient complétées.
J'en viens à mon troisième point : la proposition de loi d'Alain Fauconnier sur l'interdiction de la mise en culture du maïs génétiquement modifié MON810, déposée il y a quelques jours, dont nous n'avons pu - matériellement - nous saisir pour avis, qui a déjà été rapportée en commission des affaires économiques et vient en séance dès lundi 17 février.
Je tiens à ce que figure au compte rendu notre préoccupation sur ce sujet, qui concerne l'environnement, la protection de la biodiversité, la santé environnementale, compétences de notre commission. Nous sommes là à la limite d'une indifférence à son égard qui n'est pas acceptable.