Le CNRS est en effet l'un des organismes qui bénéficie le plus des grands programmes européens ; cependant la France n'est que le troisième bénéficiaire et perd du terrain. Horizon 2020, le huitième plan-cadre, qui vient de débuter, offre des opportunités importantes. Le CNRS, comme l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), a une représentation à Bruxelles pour soutenir les candidats français... dont les appels d'offres de l'ANR diminuent la motivation. En Angleterre, les bons projets qui ne sont pas sélectionnés par l'Europe sont soutenus nationalement. Comment entendez-vous encourager les chercheurs du CNRS à soumettre davantage de dossiers ?