Il a été question d'alimenter la cote, d'alimenter l'actionnariat. Il me semble que nous avons pourtant perdu près de 2 millions d'actionnaires individuels en France depuis 2008. Les nouveaux produits collectifs standardisés dont vous avez parlé suffisent-ils face à cette tendance ? Ou faut-il retrouver un actionnariat individuel, caractérisé par une relation personnelle avec les entreprises ?