Nous estimons également que des choses restent à faire en matière de handicap.
Les besoins en formation des personnes en situation d’illettrisme et de celles en situation de handicap ne sont pas les mêmes que ceux des autres publics. Ce sont des personnes vulnérables qui doivent faire plus d’efforts pour acquérir une qualification.
Or les conditions d’alimentation prévues dans le dispositif risquent fortement de les pénaliser.
Il serait donc légitime que leur compte personnel de formation soit plus important. C’est le sens de notre amendement.