Monsieur Cardoux, vous avez parfaitement décrit les choses. Que l’on soit en Bas-Poitou ou en Bas-Berrichon, il y a le front office et le back office. Pour le back office, les trois entrées compliquent les choses. Notre souhait à tous, c’est de proposer une seule liste au salarié et à la personne qui l’accompagnera, en particulier dans le service public de l’orientation.
J’habite, par exemple, à Chasseneuil-du-Poitou ou à Chasseneuil, dans l’Indre, en Berry, deux localités qui comptent au moins à l’échelon départemental ! §Si je suis Poitevin et que j’appuie – moi ou mon conseiller – sur le bouton, une seule liste sort, celle qui est valable à Chasseneuil-du-Poitou, en région Poitou-Charentes. Et si je suis Berrichon et que j’appuie sur le bouton, une seule liste sort, celle qui est valable à Chasseneuil, dans l’Indre, en région Centre.
Ce sera extrêmement simple. Et je veux qu’il en soit ainsi ! Vous avez raison, nous aurons à construire un mécanisme extrêmement simple pour les futurs bénéficiaires de ces formations.
Une liste à l’entrée n’est pas forcément un gage de qualité de cette liste et n’est pas nécessairement un facteur de simplicité pour le salarié. Ce qui va compter, c’est la méthode, la manière très concrète dont se mettra en place ce front office, le contact direct entre le salarié et la liste elle-même.