Je suis pour la clarté, et il n’est nul besoin de mettre des garde-fous. C’est quand on se méfie de ceux à qui l’on a confié des responsabilités que l’on aboutit à des situations ambiguës. Au fond, je préfère que chacun sache qui fait quoi et, ainsi, qui il doit, le cas échéant, remercier ou critiquer.
C’est la raison pour laquelle le Gouvernement émet un avis défavorable sur ces trois amendements. Je vous prie de m’en excuser, madame Laborde, mais je pense que votre proposition est en contradiction avec votre fibre profondément décentralisatrice.