Notre exception culturelle doit-elle être une exception aux règles d’indemnisation des chômeurs ?
Est-il normal de refuser tout aménagement alors que le chômage est au plus haut et que les salariés précaires des autres branches risquent d’être davantage fragilisés ?
Je sais que la négociation doit se faire au sein de l’UNEDIC. Ma question est donc la suivante : le Gouvernement a-t-il l’intention de continuer à fermer les yeux et à subventionner tous ceux qui profitent d’un système trop généreux ?