Celle du 1er janvier était peut-être prématurée pour beaucoup de branches, celle du 1er juillet me paraît adaptée.
Telles sont les raisons pour lesquelles je ne peux approuver la suppression du principe du report au 1er juillet, sauf à mettre des branches, tout particulièrement du secteur de l’économie sociale et solidaire, en très grande difficulté. Et je ne peux pas non plus accepter – il y va de l’équilibre de l’ensemble – que l’on reporte le délai au-delà du 1er juillet, car ce butoir incite chacun à faire les efforts de négociation nécessaires.