Pour profiter pleinement de ce potentiel de développement dans les dix ans qui viennent, il nous faudra avoir résolu deux questions : celle du big data et celle de l'utilisation des données personnelles. Avec la communication entre objets et la maison intelligente, le mode de vie de chacun d'entre nous deviendra une donnée. Notre rôle sera de créer un cadre permettant d'optimiser ces technologies en sortant de la méfiance actuelle ou de la crainte de Big Brother. Il est tout de même pour le moins ennuyeux que Facebook soit appelé dès demain à gérer toutes les données biométriques du Royaume-Uni.