Le gouvernement précédent avait décidé d’autoriser une mise en concurrence « brutale » – c’est le mot ! – des concessions intéressant les plus grands ouvrages hydroélectriques. Comme s’il n’existait qu’une seule possibilité, le processus envisagé était fondé sur un scénario de mise en concurrence avec appel d’offres, concession par concession.
Cette libéralisation, sans condition, de 20 % de notre parc hydroélectrique risquait d’aller à contre-courant – n’y voyez là aucun jeu de mots !