Grâce à des rapprochements statistiques de ces profils - le Nid a réalisé une enquête fondée sur un questionnaire adressé à 5 000 personnes -, on découvre que les garçons qui se disent capables d'acheter un acte sexuel sont, à raison de 40 %, des garçons qui regardent régulièrement des films pornographiques. Le lien entre pornographie et prostitution est évident.