J'ai trois questions à vous poser en conclusion. La première est l'attitude de nos alliés allemands en matière de financements d'industrie de la défense et de recherche. Ils sont très regardants pour ce qui est des autorisations d'exportation. Et à un moment où les industriels américains vont devenir de plus en plus agressifs sur les marchés d'export, si nous nous mettons nous-mêmes trop d'entraves, cela va poser des problèmes insurmontables.
Deuxième question : est-il envisageable de nommer un haut représentant européen pour le Sahel ?
Enfin, qu'en est-il de la représentation de l'Union européenne au sein des organisations internationales, en particulier l'Onu ?