Vous avez dit, à propos de la Russie, qui bloque actuellement toute initiative coercitive que sa position pourrait évoluer si elle se rendait compte que son intransigeance finira par nuire à ses intérêts dans la région. Pourriez-vous développer ce point de vue ? La Russie affirme, par ailleurs, que toute solution politique passe par une négociation entre toutes les parties, y compris le clan Assad et la communauté alaouite. Ne croyez-vous pas que nous pourrions, pour trouver un accord au sein du Conseil de sécurité, discuter de cette question directement avec les Russes.