Ma question s’adresse à M. le ministre de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative, qui est malheureusement absent.
Madame la secrétaire d’État, le Gouvernement n’en est visiblement plus à une contradiction près pour imposer une politique qui sombre maintenant dans le ridicule.
Ainsi, vous avez suspendu les allocations familiales aux parents d’enfants absents, mais vous n’arrivez plus à assurer la présence d’un professeur devant chaque élève.
Mieux encore, alors que vous supprimez des postes, vous demandez à Pôle emploi de recruter des professeurs remplaçants.