M. Jean-Claude Gaudin . Monsieur le Premier ministre, mesdames, messieurs les ministres, mes chers collègues, moins de deux ans après son élection, le Président de la République a pris acte de la sanction très ferme et très forte que les Français lui ont infligée à l’occasion des élections municipales, dont il s’était d’ailleurs occupé personnellement, comme à Marseille, avec le succès que l’on sait !