Nous ne le pensons pas.
Dans le même paragraphe, vous déclarez qu’il faudra répondre au sentiment d’abandon qui existe dans nos départements et dans nos territoires ruraux. Lorsque le département que je représente sera supprimé et que le siège de la région sera transféré à Lyon, soit à neuf heures aller-retour de route et de train, le sentiment d’abandon aura-t-il disparu ?