Cet amendement fait écho à une réalité quotidienne. De nombreux conjoints sont contraints de payer des montants très importants car ils se sont engagés solidairement sur des loyers, notamment pour des commerces. Les situations sont parfois dramatiques. Les bailleurs exigent la signature des conjoints afin d'avoir une garantie ; si ce verrou saute, les bailleurs ne voudront plus s'engager. Nous devons donc trouver une solution. Les objections de Mme Klès sont réelles, la solution que préconise Mme Tasca ne tiendra pas la route si l'on ignore les bailleurs. Peut-être faudra-t-il en reparler lors d'une prochaine loi sur le logement qui est annoncée.