Lors des auditions que nous avons menées sur la vaccination, la Caisse nationale d'assurance maladie nous a signalé que la vaccination contre le HPV était rarement menée à son terme car elle nécessite trois injections. Ainsi, alors que les remboursements s'élevaient à 35 millions d'euros, une part importante des jeunes filles concernées n'était pas protégée contre le virus. Il semble qu'aujourd'hui, un nouveau vaccin existe qui nécessite deux injections seulement. Faut-il y recourir prioritairement ?
Par ailleurs quels sont vos relais territoriaux en matière de communication ?