Je tiens à rassurer mes collègues sur les zones d’appellation.
Je viens de vivre sur le terrain une négociation avec la fédération viticole. Sachez qu’il est possible de réussir une négociation lorsque l’on regarde de près chaque parcelle, à condition d’éviter les oukases sur les plus petites d’entre elles.
La solution retenue a été acceptée à l’unanimité par la commission départementale. Certes, cela a pris deux ans. Mais n’oublions pas qu’il existe des zones bénéficiant d’une appellation qui ne sont plus plantées et qui n’auront jamais plus vocation à produire de la vigne. Je suis donc entièrement d’accord avec la position adoptée par la commission des affaires économiques : l’avis conforme doit être conservé pour les zones bénéficiant d’une appellation.