Les dispositifs d’aide à l’installation ne bénéficient actuellement qu’à un tiers des installés, alors même qu’ils mobilisent chaque année 350 millions d’euros de financement public. L’efficacité du système pose question, quand l’accès au financement, tout comme l’accès au foncier, est sans cesse désigné comme un frein à l’installation.
Nous souhaitons donc que soient étudiées les possibilités d’exonération des cotisations sociales pour un plus grand nombre de candidats à l’installation, afin de résoudre le problème de la barrière des quarante ans, comme j’ai eu l’occasion de le souligner lors de la présentation d’un amendement précédent.
Le présent amendement tend, ainsi, à demander un rapport sur le sujet, mais je vais le retirer avant qu’on me le demande : j’aurai au moins dit ce que j’avais à dire ! §