Cet amendement a été admirablement défendu par Mme Férat et, par conséquent, je n’aurai pas l’outrecuidance de prétendre l’égaler ni a fortiori la dépasser dans la pertinence de ses arguments.
Le monde agricole connaît la diversité, accepte des filières différentes, permet une saine émulation entre le secteur public et différentes formes de secteur privé. Je crois qu’il faut reconnaître là où existent des compétences, des talents et des expériences. C'est l’objet de l'amendement de Mme Françoise Férat, et c'est l’objet de celui de Mme Primas ; ils concourent tous deux au même objectif, feront sans doute l’objet d’un même vote et, je l’espère, d’une même adoption !