Cet amendement, qui s’inscrit dans la démarche de « déprécarisation » engagée par mon ministère, doit permettre d’accéder à ce dispositif à environ cent cinquante agents de l’Agence de services et de paiement, de FranceAgriMer, de l’Institut national de l’origine et de la qualité, appellations d’origine, de l’Office de développement de l’économie agricole d’outre-mer, ainsi qu’une vingtaine d’agents exerçant les fonctions de préposés sanitaires recrutés par le ministère de l’agriculture.