Pour avoir présidé l'université de Saint-Étienne, j'ai mesuré la bonne volonté de l'INSERM, mais aussi ses difficultés à accompagner des équipes avec des redéploiements de moyens. Pensez-vous disposer d'une marge de manoeuvre suffisante pour accompagner par des moyens réels des équipes de qualité, en dehors des capitales régionales historiquement mieux dotées ?