Le projet de loi offre la possibilité de transférer ces pièces à titre gratuit aux collectivités territoriales. Mais qu'en est-il des mobiliers archéologiques par lesquelles les collectivités ne seraient pas intéressées, et dont on considérerait que la conservation n'a plus de sens dans la mesure où ils ont été étudiés ? Ne peut-on s'interroger sur leur possible destruction, par analogie à ce qui est fait en matière d'archives ?