Vous mettez le doigt sur une problématique qui touche à l'identité de l'institution. Il est vrai que, traditionnellement, en France et à l'étranger, la référence aux « beaux-arts » est connue, il s'agit presque d'une marque. On sait de quoi on parle, ce qui n'est pas le cas quand on cite l'« ENSBA ». Cela pose une vraie question : faut-il abandonner cette identité ou, au contraire, en trouver une autre, mais laquelle ?