Vous nous dites aujourd'hui que le décret complémentaire est contreproductif, alors qu’il répond à vos demandes !
Enfin, vous nous avez demandé de prolonger d’une année supplémentaire le fonds d’amorçage : le Premier ministre l’a accepté. Si vous changez d’avis aujourd'hui, je le regrette, car cela ne répond pas à l’intérêt de l’enfant ! §