Sans revenir sur le débat que nous avons eu en commission, nous voulons élargir l'exigence vis-à-vis des entreprises aux questions liées aux droits de l'homme et à la gouvernance, sujets qui ne sont pas inclus dans les termes « social et environnemental ». Le drame du Rana-Plaza l'a bien montré : il ne s'agit pas seulement d'une question de conditions de travail mais de gouvernance et de responsabilité générale. Nous maintenons notre position.