Un délai d’un peu plus d’un an pour élaborer la stratégie française de réduction des soutiens aux énergies fossiles nous semble un peu court. Il s’agit certes d’un choix politique, mais sa mise en œuvre est importante. Une durée de deux ans paraît plus raisonnable.
De surcroît, cette décision relève davantage de la future loi sur la transition énergétique.
La commission demande le retrait de cet amendement. À défaut, elle émettra un avis défavorable.