Le Gouvernement émet également un avis défavorable.
Nous avons besoin de temps pour mettre en place cette stratégie, pour réfléchir à ses conséquences économiques, et notamment à ses incidences sur le développement.
En outre, dans le contexte de la préparation de la COP 21, la priorité doit être donnée à la réussite de la négociation internationale, qui représente, comme vous le soulignez avec raison, madame la sénatrice, un enjeu absolument majeur pour la France.
À ce titre, et dans la mesure où la France présidera la prochaine conférence, nous nous devons avant tout d’emprunter la voie de la concertation, d’écouter, avant de prendre un certain nombre de décisions.