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Le Gouvernement n’émet pas d’objection de fond sur cet amendement. Toutefois, il préconise d’éviter tout alourdissement du texte si ce n’est pas indispensable. En effet, il est précisé à l’alinéa 120 du rapport annexé que « l’État concentrera au moins 85 % de son effort financier en faveur du développement en Afrique subsaharienne ». De plus, l’alinéa 224 dispose que la France se fixe comme objectif de consacrer 0, 2 % de son revenu national brut à l’aide au développement des PMA.
Le Gouvernement s’en remet à la sagesse du Sénat.