Mme Aïchi anticipe sur deux éléments : la réduction des crédits militaires et la mise en place de l’Europe de la défense. Ni l’un ni l’autre, je l’espère – et surtout pas le premier –, n’est à l’ordre du jour. Pour ce qui est de l’indépendance de la politique française en matière de défense, voire de prévention des conflits, il me semble qu’il n’est pas nécessaire de passer obligatoirement par le niveau européen.
Telle est la raison pour laquelle la commission émet un avis défavorable sur cet amendement.