Je ne manque jamais de rendre hommage à M. Ollier, mais c'est bien la création de cette commission qui a engagé la dynamique d'amélioration du taux d'application. Le secrétariat général du Gouvernement a donné ensuite une impulsion nouvelle.
L'important, c'est qu'une culture nouvelle s'installe et que le parlement ne soit plus victime des blocages de la technostructure.