Nous continuons à financer les développeurs de l'apprentissage, créés par la majorité précédente, dont le rôle est de contacter les entreprises et de les inciter à embaucher des apprentis. Selon les études des chambres consulaires, leur action est utile. Nous nommons dans les régions des ambassadeurs de l'apprentissage, issus du monde de l'entreprise. Le nombre d'apprentis a baissé de 14 % sur les quatre premiers mois de l'année, mais les chiffres s'améliorent à la rentrée de septembre. La baisse n'est pas due simplement à la suppression de la prime. Les emplois d'avenir font de la concurrence à l'apprentissage. Sans doute le vocabulaire n'est-il pas sans conséquence, les familles préférant un « emploi » à un « contrat »...