J'apprécie la qualité du travail sénatorial mais ce texte, malgré quelques avancées, manque d'ambition et de souffle. Les dispositions sur le verdissement ne sont pas liées aux contraintes de la PAC, qui fixe des obligations ou des interdictions d'assolement. Je regrette que notre débat n'ait pas permis de clarifier ce point. La couverture des risques n'a pas été évoquée. J'espère que ce sera partie remise. Nous aurons l'occasion de croiser le fer en séance publique avec Roland Courteau.
Didier Guillaume s'excuse presque d'employer le mot de compétitivité, comme s'il s'agissait d'un parjure ou d'un gros mot !