Les plans de gestion sont des documents simples, qui s’appliquent grâce à des engagements pris par chaque propriétaire. Que le propriétaire d’un hectare, ou de deux, trois ou quatre, doive prendre des engagements sur le plan des aménités sociales et environnementales, cela est trop compliqué et ne serait pas du tout praticable. Sans compter, monsieur le sénateur, que les plans de gestion comportent déjà des objectifs de cette nature, qui s’inscrivent dans un cadre global. Je suis donc défavorable à l’amendement.