Et même si l’on se demande parfois si les rapports dont nous sommes destinataires finiront par arriver un jour ou l’autre, ils nous permettent tout de même de disposer d’informations pour un coût bien inférieur à celui d’un observatoire national.
On ne résout pas tous les problèmes – ce conseil est à transmettre au plus haut niveau de l’État – en décidant de créer un observatoire, un haut conseil, un haut comité ou toute une série d’organisations et d’autorités plus ou moins indépendantes, qui coûtent très cher et qui ne servent strictement à rien.