Je me réjouis donc de l’avis favorable du rapporteur sur mon amendement. Pour la discussion parlementaire, pour la sérénité du débat, il est utile que le Parlement se saisisse de son droit d’amendement.
Le président Jacques Mézard parlait d’or à l’instant et je n’ai rien à ajouter à ce qu’il a pu dire. Bien évidemment, je maintiens cet amendement.
Faire progresser un texte par la discussion parlementaire, c’est aussi admettre que les élus se saisissent de l’avis d’une commission et votent en connaissance de cause.