D'ailleurs, selon la préfecture de police, il y a toujours eu un équilibre entre les taxis et ce que l’on appelle les « voitures de grande remise ». Il faut dire que la stratégie de la préfecture de police est intelligente : elle cautionne, elle laisse faire, ce qui, en pratique, revient au même que notre amendement. C’est la logique des choses.
Si cet amendement est voté, les VTC pourront rester une heure dans la zone. Cette solution est toute simple. Elle est de bon sens, en sachant qu’à Paris – j’ignore comment cela se passe ailleurs – la situation concerne essentiellement les quatre points de friction que j’ai évoqués.