Intervention de Jean-Marie Vanlerenberghe

Commission des affaires sociales — Réunion du 22 juillet 2014 : 2ème réunion
Loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 — Examen en nouvelle lecture du rapport

Photo de Jean-Marie VanlerenbergheJean-Marie Vanlerenberghe :

L'objet du mépris du Gouvernement, c'est moins le Sénat que le Parlement. C'est incohérent, illogique : mais que peut-on faire, sinon changer de République, ce qui n'est pas directement en notre pouvoir ? Notre vote unanime a été bafoué, mais le Gouvernement joue aussi avec l'Assemblée nationale. La solution retenue est une demi-mesure. Le rapporteur général a raison de suggérer au Gouvernement de revoir la liste réglementaire des prestations. Comment distinguer confort et nécessité ? J'ai entendu ce matin le secrétaire d'État chargé de la réforme de l'État et de la simplification : il ferait bien de commencer par réformer la manière d'agir du Gouvernement !

Aucun commentaire n'a encore été formulé sur cette intervention.

Inscription
ou
Connexion