Malgré les problèmes rencontrés, il semble que les engagements de l'État ont été assurés. Pour l'avenir peut-on identifier les projets qui doivent être impérativement réalisés et ceux qui peuvent être abandonnés ? Quelles recettes trouver si une grogne empêchait la mise en place des 2 centimes supplémentaires récemment évoqués ? Ne serait-il pas souhaitable que la fonction de président de l'AFITF soit exercée à plein temps ?