Merci pour la clarté de l'exposé. En quoi une structure intermédiaire comme l'AFITF peut-elle apporter une plus-value au financement des infrastructures de transport ? Vous indiquez que les dépenses liées aux deux lignes TGV prises en charge par l'AFITF ont été étalées mais, sur le chantier de la ligne TGV Est, les travaux avancent normalement et l'objectif de mise en service semble toujours être 2016. Si le modèle du « tout TGV » parait dépassé aujourd'hui, avec une inversion des priorités en faveur de la rénovation des infrastructures et des transports du quotidien, doit-on pour autant considérer que le réseau TGV est achevé et que le maintien d'une compétence de haut niveau dans ce domaine n'est pas une nécessité ?