Je comprends qu’il puisse y avoir des difficultés à apposer le logo Triman sur certains produits. Cela étant, si la dématérialisation peut être prévue dans certains cas exceptionnels, il est évident que l’objectif du logo ne sera atteint que s’il est, chaque fois que c’est possible, clairement apposé sur le produit. Ainsi, l’acheteur sera bien conscient que ce produit est recyclable, ce qui l’incitera à faire le geste de tri.
Mon intervention avait donc pour but d’insister sur ce point, madame la secrétaire d’État : la dématérialisation du logo doit demeurer l’exception.